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 Grand Livre des Sagesses

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Valentin I er
Saint Père
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Valentin I er


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Fonction : Souverain pontife Archevêque de Rouen
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MessageSujet: Grand Livre des Sagesses   Grand Livre des Sagesses Icon_minitime1Jeu 2 Juin - 17:19

Premier Livre : Le Commencement


Le Créateur

Avant l'origine du Monde , il n'y avait que le Créateur, entité suprême , Parfaite, et omnisciente . Il est le tout , le début et la fin , tout vient de lui . Père céleste il conçut dans sa bonté sans faille la vie.

La Création

C'est ainsi que le Très-Haut créa l'Univers , le Monde, auquel il entreprit de lui donner forme. Il dessina et modela à sa convenance les fleuves et les océans, la terre et les montagnes,et fût appelé le mouvement Divin . Il conçut le ciel et le vent, le feu et la foudre, les végétaux et les animaux et fût appelé l'Énergie . Ainsi l'eau se mit à rejoindre le ciel pour descendre ensuite sur terre , afin d'alimenter fleuves et océans, le feu commença à sortir des volcans pour nettoyer la terre, les êtres apprirent à se mouvoir, à se nourrir et à procréer avant de mourir et ainsi retourner au monde.
Alors qu’il avait conçu le Mouvement comme une force infinie, l'Énergie, elle, se devait d’être transmise. Ainsi il fallait que l’animal broute le végétal, que le prédateur dévore la proie, et que les cadavres d’animaux pourrissent pour nourrir les végétaux. Mais, pour que cela ne détruise pas Ses créatures, le Très-Haut partagea chaque espèce en deux principes complémentaires, qu’il appela masculin et féminin. Tous deux étaient égaux et devaient se rechercher pour s’unir, et ainsi perpétuer l'Énergie. Cette volonté de transmission de l'Énergie, ou volonté de survie fut appelé alors l’instinct
Ainsi, de l'Énergie le Très-Haut créa le temps, où la mort succède à la vie, qui précède à son tour une vie auprès du Père éternel. Le Monde était alors unie et régenté par un mouvement perpétuel que l'Éternel appela Vie et vit que cela était bon.

Les Hommes

Alors que sa Création était presque achevé , il vit qu'elle ne faisait que s'adapter à sa volonté. Alors qu'il était capable de créer, son Oeuvre se suffisait à elle même sans jamais chercher à évoluer, car l'instinct n'avait pour seul fonction que de perpétuer la Vie. Il décida alors d’entreprendre Sa plus
belle des créations : les Hommes.
Il forma de la poussière de la terre leur corps et décida, en réunissant tout son amour, de leur donner à chacun ce que toutes autres créatures ne possédaient : une âme.
L’âme, provenant de l’amour du Très-Haut, est éternel et ne peut être touchée, ni vue, ni sentie, ni goûtée, ni entendue, car elle est différente de la matière , elle contient l’intelligence, qui elle même est composée de la raison et des sentiments, en ayant pour principale mission de maitriser l'Instinct.
Les Hommes devinrent alors des êtres supérieurs, doués d’une grande raison, du pouvoir de création et de la capacité du sentiment. Mais les Hommes avait gardé l'Instinct qui régissait le monde ainsi leur intelligence, leur raison, leur sentiments, étaient limitées. Le Très-Haut voulait aimer les Hommes et que les Hommes l’aiment en retour et créa l'Amour .

L'Amour

Les hommes, grâce à leur âme, étaient conscients d'eux-mêmes, ils pouvaient choisir ce qu'ils faisaient, ils avaient la possibilité de créer de nouvelles choses, d'évoluer. Ils n'étaient plus totalement esclaves de leur instinct. Ils devinrent ainsi très vite l'espèce dominatrice du monde, la reine de la Création. Ils ressentaient au fond d'eux l'amour de leur Créateur, et, sachant qu'ils ont été créée par Lui alors que rien ne l'y obligeait, ils se devaient de l'aimer pour le remercier. Le Très-Haut regardait ému tout l'amour que ses créatures préférées lui portaient. Voulant les remercier il leur dit:

« Cet amour que j'attends de vous, je vous permets aussi de l'éprouver également envers vous. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera la finalité. Mais seul l'amour que j'aurais béni pourra permettre la procréation, afin que votre espèce perdure dans Mon Amour. »

Alors, le Très-Haut créa deux mondes. l'un était les cieux et l'autre les ténèbres. le Très-Haut leur expliqua:

« Vous êtes mes enfants et je suis votre Père, que votre fidélité soit donc celle des enfants envers leurs parents ou je serai aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Je suis votre Père, et lorsque chacun de vous mourra, je jugerai son âme en fonction de la vie qu'il a mené. Je place les cieux au dessus de la terre, ma nouvelle demeure, ceux, parmi vous, que j’y enverrai, vivrons à mes côtés une éternité de bonheur, mais ceux qui m'auront désobéi seront jetés dans les ténèbres, dans les profondeurs de la terre, et n’y connaitront plus que le malheur. »

L'évolution

Le Très-Haut n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer. Ils maintenaient leur amour pour Leur Père et maitrisaient à la perfection leur instinct. Comme ils possédaient le libre arbitre ils pouvaient choisir le chemin de la fidélité ; de la vertu, ou celui de la désobéissance ; du péché. Étant omniscient, le Très-Haut savait déjà comment serait leur avenir, mais il voulait que ce soit à eux de faire leurs preuves, sans les juger par avance, car Il les aimait vraiment.

Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, et leur société de plus en plus belle et raffinée. Ils amélioraient sans cesse leurs arts et leurs sciences pour la Gloire du Très-Haut. les plus belles inventions fut l'écriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir, et les mathématiques, qui leur permit de compter les jours, d'inventer les semaines, de dénombrer les années. Chaque Dimanche par exemple, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats pour prier ensemble Celui qui les aimait tant et qu'eux aussi aimaient. Ils n'avaient évidemment pas encore de clercs, car ils n'en avaient pas encore l'utilité, étant en communion directe avec leur Père.
C'est malheureusement ce pur amour et cette sincère communion avec le Créateur qui conduisit les hommes à leur perte. Toutes ses innovations rendaient leur vie moins difficile. Au début, ils consacraient leur nouveau temps libre à Leur Père, mais avec le temps, tels des moutons sans berger, ils se laissèrent grisés par la douceur de leur vie. Celle-ci était si agréable qu'ils ne voyaient plus l'intérêt de l'améliorer par leur intelligence et commencèrent donc à se laisser vivre, écoutant de plus en plus leur instinct animal et oubliant peu à peu d'aimer leur Père. Le premier des péchés fut ainsi involontairement découvert par les humains: l'acédie, ou la paresse spirituelle. Celle-ci est un mal de l'âme qui s'exprime par l'ennui, le dégoût pour la prière, la pénitence, la lecture spirituelle.

Les péchés

Les humains avaient découvert involontairement l’acédie. Ils avaient dédaigné l’amour du Très-Haut pour lui préférer les choses matérielles. Ils devinrent apathiques, se laissèrent aller, accablés par une angoisse oppressante. Inquiétude, oisiveté, instabilité, somnolence, dégoût, ennui les conduisirent à négliger leurs devoirs envers eux-mêmes et envers le Père. De ce péché originel vint, malheureusement les autres.
De l'acédie découla un manque, une blessure, une frustration. les hommes ne se supportaient plus et ne savaient plus communiquer entre eux. lorsque la parole est inefficace, les hommes agissent et s'abandonnent à leur colère, le deuxième péché. Prenant armes en main, ils commencèrent alors à se frapper et à se tuer. Leur instinct leur permit de découvrir une force bestiale et cruelle alors inconnue qui était enfouie au fond d'eux durant toutes ses années. la guerre venait d'éclater dans la société des hommes.
Les hommes victorieux, possédant une force bestiale supérieure aux autres, s'estimaient être plus importants et plus méritants. C'était l'orgueil, le troisième péché. Ce dernier empêche les autres de voir qui on est vraiment et donc de nous aimer tel qu'on est. Il nous empêche d'accepter l'amour du Père puisque celui-ci nous aime tel qu'on est et non tel qu'on croit être. la vantardise s'était installée dans la société des hommes.
Les vantards croyaient ne rien devoir à personne, et qu'ils pouvaient mépriser les autres, car ces derniers leur étaient forcement inférieures. S'estimant les seuls capable de régenter la vie de la citée, ils voulurent devenir encore plus fort, pour augmenter leur gloire, tel un lion voulant la plus grande des crinières. Ils commencèrent alors à accumuler et à concentrer de plus en plus de richesses, ne partageant rien aux autres. C'était l'avarice, le quatrième péché, fruit d'une concurrence qui ne connaissait plus aucune limite. La loi du plus fort venait d'apparaitre dans la société des hommes.
les forts croyaient même qu'ils pouvaient dominer les faibles. leur âme ne pouvait plus maitriser leur instinct et leur désir sexuel de procréation. Ils abusèrent des faibles et les faibles subirent les forts, de la tendresse du pur sentiment d'amour accordé par le Créateur ne fut alors plus question. le viol était devenu chose banal dans la société des hommes.
les faibles se révoltaient intérieurement contre cette injustice. Ils se mirent à ruminer une envie de vengeance. Au début, ils s'efforçaient d'amoindrir la gloire des forts discrètement, par des chuchotements malveillants, puis, la haine étant trop grande, ouvertement, par des diffamations. le mensonge venait de circuler dans la société des hommes.
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Sagesses   Grand Livre des Sagesses Icon_minitime1Jeu 2 Juin - 17:19

Deuxième Livre: Les Prêches Pascal




Le Début du Pascalisme et le pardon aux Hommes


Pascal venait d’avoir eu la révélation du tout puissant et se devait de la redonner aux Hommes pervertit. Il prit les rues de Rouen en proclamant l’annonce d’une Grande nouvelle, Pascal de nature logique et réfléchi avait suscité la curiosité des habitants. C’est en la grande place de Rouen qu’il avait rassemblé les Rouennais et les Rouennaises, ils étaient venu en masse écouter la parole de Pascal, mêlé entre interrogation et stupéfaction ils attendirent qu’il donne les raisons de cette annonce. D’un geste rassembleur, il fît taire la population pour s' exprimer en ces mots.

« Peuple de Rouen ce matin en labourant mon champ j’ai eu une vision du créateur l’avertissement que l’Homme s’est détourné de la voix céleste, le Très-Haut m’as choisi pour vous guider vers le chemin de la vérité, de la foy. Aujourd’hui mes frères, mes sœurs tournons nous vers lui. Je vous pardonne en cet instant les péchés de l’homme tel est la volonté de l’éternel. »

En ces mots la population était divisé entre ceux et celles croyants en la vérité que Pascal proclama et ceux brandissant l’indignation , le blasphème, la folie et crièrent d’une voix

« Imposteur, blasphémateur, pour qui te prend tu ??? Pourquoi le Très-Haut t’as choisi toi ??? Pourquoi n’est t’il pas apparu à tous ??? Tu ment au buché. »

Les cries , les sifflements se firent entendre; et Pascal se mit à sourire non par provocation mais d’un geste dépourvu de toute rancœur , un geste fraternel et de ce même geste il tendit sa main où le symbole divin fût graver sur sa peau par le Très-Haut lui-même, tel la bannière du créateur il le montra et l’exposa au incrédule qui se mirent à genoux sur le champ. Pascal grand Orateur proclama

« Frère et Sœur je vous pardonne comme le créateur vous pardonne, voyez le signe céleste symbole incontestable de la vérité que je vous proclame, marchons ensemble dans la paix, l’amour, le dialogue, la joie et le pardon, la voie que le Créateur nous dicte. »

Les incrédules étaient devant Pascal implorant son pardon et Pascal souriant, aimant d’un amour presque divin répondit :
« Mes frères, mes Sœurs vous n’avez pas à m’implorer car vous êtes déjà pardonné, maintenant allez et proclamez vôtre foy, je serais vôtre berger tel est la volonté du tout puissant. »



Le moindre effort

Pascal était en pleine "Pascalisation" des peuples, qui, par les commérages incessant prônaient déjà le moindre effort pour un maximum de plaisir. Hélas quand Pascal arriva dans la ville , il s'étonna de la voir abandonné livré à elle même, il chercha dans toute la ville le moindre habitant, recherche qui dura un petit moment avant d'en trouver un. le prophète s' approcha et lui demanda avec stupéfaction.

« Bonjour, mon enfants, pouvez vous me dire pourquoi la ville se trouve déserté ? »

L'humble habitant comprit instantanément qu'il se trouvait en face de Pascal, lui répondant

« Oh grand Pascal c'est un honneur que de vous avoir ici. Pour ce qui concerne la ville nous avons décidé d'appliquer vôtre précepte du moindre effort pour un maximum de plaisir. »

Pascal était fort étonné de l'application quelques peu original mais erroné de son précepte et décida de l'expliquer.

« Mon frère , mon bien cher frère, l'effort ayant pour but d'arborer son orgueil ne pourras jamais être encouragé , en revanche l'effort ayant pour but de profiter du plaisir celui ci ne peut être que bénéfique. Ainsi quand je parle de moindre effort je vous dit de fournir seulement l'effort qui vous donnera satisfaction totale afin de jouir d'un plus grand plaisir devant l'œuvre accompli »

les habitants écoutèrent et comprirent ce précepte. La ville pût a nouveau prospérer

l'Espérance

Père Lambert avait voyagé de part et d'autre du royaume pour prêcher la bonne parole de Pascal qui était naissante. Quand il arriva dans les alentours de la ville, il décida d'y prendre un petit moment pour se reposer avant de rentrer dans la capitale. Le soleil brillait et la pluie ne s'était pas abattu depuis plusieurs mois ce qui avait pour conséquence de fragmenter la terre et de la rendre stérile par manque d'eau.
Les paysans,désespéré, avaient reconnu le père Lambert qu'ils avaient rencontré lors de ses quelques passages, ils s'avancèrent et lui dirent

"Mon Père c'est une catastrophe, nos terres manquent d'eau à cause de la sécheresse qui durent depuis des mois, et nous n'avons point assez de ce précieux liquide pour irriguer correctement nos semences qui doivent commencer dans une semaine. Vous homme de foi, et de culture pouvez vous nous éclairer de vos sagesses pour éviter cette catastrophe? Comment le tout puissant peut t'il nous abandonner "

Père Lambert qui écoutait avec attention prit un ton rassurant et posé.

"Mes chers enfants , lorsque l'Homme a une bonne récolte il croit au tout puissant mais dés la première sècheresse, les Hommes se détournent de lui. Veillez et priez et vous serez récompenser, veillez le et priez le en toute circonstance et vos terres seront aussi fertile que vos cœurs."

Le jeune prêtre partit et continua son chemin vers la capitale. Les habitants l'écoutèrent il veillèrent et prièrent lorsque le 3ème jours la pluie tomba durant une semaine. Au retour du Père Lambert qui s'en retournait chez lui, il le remercièrent et l'espérance revint.

l'humilité

Une jeune noble qui vivait à Paris depuis de très nombreuse année,voulait retourner vivre en Normandie par attache à ses racines. Hors, celle ci par habitude de vivre au centre d'une royauté sélectionné,avait oublié quelques peu, l'essence spiritueuse même de ces merveilleuses contrées. En effet, la jeune et non sulfureuse Béatrice de Pelor avait pour réputation d'être aussi détestable , en caractère et en gentillesse, qu'une mouette avec ses poissons. Lorsqu'elle arriva dans la ville,elle imposa subitement ses lois, son mode de vie aux habitants qui croyaient , au début,à un départ de renaissance.
Mais le temps passa et sa réputation n'était plus à faire , l'ambiance changea, l'esprit de la population changea et la jovialité pourtant si caractéristique de ces recoins avait elle même laissé place à une morosité déconcertante. Au bout d'un énième soir dans une auberge devenue tyrannique , un homme prénommé Ivan de Lentin entra dans l'auberge et après avoir fait toute les formalité commune et propre à la politesse , il s'assit et écouta la discution en cour.
Au bout d'un certain temps et non d'un temps certain, et l'attitude inadapté , déplacé de la jeune noble il répondit en ces mots

« Ma chère dame, sachez que la noblesse ne vous dispense pas de politesse et que l'humilité fait,en partie de l'Homme un bienheureux en suivant les préceptes que nous a inculqué par Pascal. Si le tout puissant révéla la vérité à nôtre prophète que les rois , les empereurs de toute l'Europe le reconnurent , pensez vous être dans ce cas bien précis leur être supérieur, même au tout puissant en dénigrant les préceptes divins ? »

La femme le regarda un instant éprouvant du mépris reconnu ses tords au fond d'elle même, sans un mot elle partit définitivement et la morosité s'en alla avec elle.
Pascalien pensez à vos actes et paroles ici bas, arrivé devant le tout puissant vous serez tous égos et votre vie passée pourrait être votre fardeau.






2ème Partie: La diète de Reims


La diète


Des mois avaient passé depuis la révélation du très haut à Pascal,faisant d'un simple prêche à Rouen, une vague populaire grandissante que tous le monde appelait déjà le Pascalisme. Les rois et les empereurs de l'époque prirent cela , au début, comme une simple plaisanterie ne lui donnant nul crédit ainsi que peu de temps à vivre ou survivre en proférant des hérésies. Hors,ce qui devait être un prêche sans importance, à leur yeux se transforma en véritable courant religieux dont on ne pouvait ignorer. Alors les grands chefs politique d'Europe, redoutant des révoltes au sein de leur royaume et empire décidèrent de se réunir à Reims dans le plus grand secret pour donner une suite radicale qui couperai une montée de la violence certaine. Pendant la première partie de cette grande réunion,une idée surgit...celle d'assassiner Pascal. Tous étaient dans l'ensemble ravie de cette idée, mais un roi,le plus sage d'entre tous se leva et dit:

« Mes chers amis, le tueur ferait de lui un martyr et ses préceptes ne feraient que grandir inexorablement sans que nous ne puissions plus rien contrôler. Je vous propose que nous l'invitions à venir ici débattre pour que nous trouvions un arrangement »

Ainsi fût fait, voyant le jour en question arriver Pascal. vint auprès d'eux pour discuter de l'avenir religieux , du monde pervertit et de ses préceptes nouveaux. Le débat avait était lancé et de longue discutions s'en suivirent, alors que les rois et empereur pensaient pouvoir le contrôler ou le mettre à leur botte il découvrirent l'éloquence , la prestance mais surtout une incroyable vérité dans ses propos. Pascal leur montra la marque en dernier lieu pour voir leur comportement face à la Parole Divine et crurent en lui sans contestation. Devant l'évidence même ils reconnurent le Pascalisme comme religion d'état et fondèrent l'église Pascalienne.
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