Matthieu Ier Cardinal émérite
Nombre de messages : 256 Date d'inscription : 23/07/2009
| Sujet: Réponse ouverte à Marie-Thérèse Howard Dim 16 Mai - 11:07 | |
| - Citation :
A l’universalité des Fidèles, A Marie-Thérèse Howard, Princesse d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, Duchesse d’Oxford et de Norfolk, Comtesse de Surrey et d’Arundel, Dame Royale de l’Ordre de la Jarretière, Grande Chancelière d’Angleterre et Régente de Middlesex.
- Saint Père Pascal a écrit:
- « Le Créateur veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la Vérité Divine. Il faut donc que Sa Parole soit annoncée à tous Ses enfants et qu’ainsi la Révélation que j’ai reçu par Sa Grâce parvienne jusqu’aux extrémités du monde connu. »
La Créature sans le Créateur s'évanouit. Aujourd'hui, à l'ère du Renouveau de la Sainte foi, la Sainte Église Pascalienne, seule et véritable institution de Dieu, se sait pressée par cette volonté divine, transmise par son seul prophète Saint Père Pascal, né et mort homme, d'apporter la Vérité Divine à ceux qui l'ignorent ou la refusent. Très bientôt les Saintes Écritures seront traduites en anglais et des clercs pascaliens anglophones seront formés pour prêcher la Parole du Créateur aux sujets d'Angleterre, d'Irlande et d'Écosse. Ces derniers pourront alors enfin vivre en communion réelle avec le Créateur et leur âmes pourront être sauvées.
Nous savons que cette conversion nécessaire se ferra pacifiquement. Car lorsqu'il écoute son intelligence, composée de la raison et du sentiment, l'homme peut atteindre la certitude de l'existence du Créateur, cause et fin de tout, de la nécessité de s'unir à Lui, à Son Prophète, à qui il révéla Sa Parole, et à Son Église, à qui il donna le dépôt de Sa foi. Si toutefois les autorités anglaises se refusent d'écouter leur intelligence la Sainte Église devra-t-elle alors de prendre les décisions nécessaires pour assurer sa mission. Vous en conviendrez qu'abandonner des enfants du Créateur est quelque chose d'inacceptable.
Faict à Paris le 28 mars de l'an de grâce 1650. Matthieu d'Artois de Lancaster, Comte Souverain de Venaissin, Cardinal Secrétaire d'État, Chancelier du Glorieux-Office, Doyen de l'Université de Reims, Premier Docteur de la Sainte Église.
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